Censure-moi
La présence du corps a toujours été centrale dans l’œuvre Ronnie Jiang. Sa série « Censure moi » opte pour une physicalité frontale où le réalisme de la nudité se dispute à l’étrange. Cette situation charnelle et atypique déploie son érotisme à travers des corps fragmentés, déconstruits, multipliés. La distorsion de la réalité créée une subtile tension. Les traits sont fins, immédiats, spontanés, allusifs et narratifs. Personnalités publiques et inconnus se font face à face. Il s’agit de transcrire l'intériorité par des positions excentriques du corps dans l’excitation du mystère.
La présence du corps a toujours été centrale dans l’œuvre Ronnie Jiang. Sa série « Censure moi » opte pour une physicalité frontale où le réalisme de la nudité se dispute à l’étrange. Cette situation charnelle et atypique déploie son érotisme à travers des corps fragmentés, déconstruits, multipliés. La distorsion de la réalité créée une subtile tension. Les traits sont fins, immédiats, spontanés, allusifs et narratifs. Personnalités publiques et inconnus se font face à face. Il s’agit de transcrire l'intériorité par des positions excentriques du corps dans l’excitation du mystère.